~ 072 ~

Temps de lecture : 5 minutes

 

*

 

Le lendemain, et si sa meilleure amie se dépite de son couple, Amy Wills apprécie le sien pour la sérénité qu’il lui apporte, et ce, malgré qu’elle trouve son Noah de plus en plus distant au fil des jours.

Elle décide donc d’attraper son blond au premier intercours de la journée, avant qu’il ne rejoigne ses amis, afin de lui en toucher deux mots 

Son visage se renfrogne très vite dès qu’il la voit arriver vers lui, il boude. Il a l’air las, mais nie reprocher quoi que ce soit à sa compagne, alors que son minois, très expressif, lui dévoile le contraire. Le jeune Beckers se livre rarement. Il enfouit au plus profond de lui tous ses maux et rancœurs, jusqu’à surprendre son monde quand finalement il explose.

La blondinette insiste. Elle désire qu’il lui dise la raison de son attitude détachée, puis s’exaspère de son mutisme et se décide à lui lancer avec agacement :  

— Tu veux peut-être qu’on arrête ?

— C’est ce que tu sembles souhaiter, lui offre-t-il sans attendre, déliant enfin sa langue.

— Pas vraiment, pourquoi ? l’interroge-t-elle aussitôt avec angoisse et méfiance.

— Ouvre les yeux. Tu n’es pas heureuse avec moi et tu me l’as assez fait comprendre comme ça. Maintenant, si tu veux bien m’excuser, je vais profiter de la pause avec mes amis.

Il finit sa phrase dans un soupir et tourne les talons, tandis que son interlocutrice le retient par le bras, le cœur battant à tout rompre, l’air désespéré :

— Attends ! pourquoi dis-tu ça ? Je n’ai jamais fait quoi que ce soit pour te faire comprendre des inepties pareilles !

— Amy… je ne suis pas ta roue de secours parce que tu n’as pas réussi à avoir Joakim, chuchote le blondinet avec amertume et dégoût, ne me crois pas plus con que je ne le suis…

— Quoi ? Ça ne va pas de parler de l’autre déchet ? réagit la lycéenne dans la panique en s’agrippant nerveusement à lui. Je suis vraiment désolée si mon attitude t’a amené à penser un truc pareil, mais tu te trompes ! C’est toi que je veux, depuis toujours !

— Mouais… soupire Noah sans convictions, mais en se tournant enfin vers elle.

Il ne la croit pas et son cœur se serre de songer qu’on puisse lui mentir ainsi, aussi ouvertement. Il a l’impression de parler à Joakim ; en pire, car lui trahit tout le monde, sauf lui.

— Je ne veux pas rompre, je tiens à toi ! insiste tristement la jeune fille, les yeux larmoyants. « On est le meilleur couple du lycée ! Tout le monde nous trouve trop mignons ! On a une image à tenir ! »

Elle termine sa phrase en s’emparant vivement de ses lèvres pour débuter un long baiser de réconciliation.

Échange que son petit ami, touché par ses sanglots, prolonge afin de la rendre heureuse ; et alors qu’elle réalise la peur ressentie à l’idée de le perdre. « Peut-être s’était-elle finalement attachée à lui, avec le temps, et ce, malgré qu’il l’agace parfois énormément ? »

 

*     *

*

 

Le jour suivant et peu avant que la nuit tombe, dans la résidence Muller, Zack met à exécution le plan de ses amis pour soi-disant discuter avec Joakim. Il se sent mal tandis qu’il respecte à la lettre les consignes et se fait violence pour continuer, songeant qu’il ne s’agit que de forcer une conversation, s’il a bien compris…

Il téléphone donc à son cousin pour lui demander de le récupérer en ville, avec la moto qu’il semble si fier de posséder ! « Il vient de rater son bus et le prochain passe dans une heure ! Sa mère va le tuer s’il traine tout ce temps ! »

Il angoisse toutefois devant la nullité de cette idée, car ce soir, la cible de ses comparses doit se préparer à regarder l’ouverture de Starquest…

Pourtant, et malgré sa certitude, son interlocuteur accepte sans hésiter de l’aider, mais d’une façon étrange, cependant : il réclame confirmation à plusieurs reprises, en employant un ton inhabituel… le brun se sent terriblement mal à l’aise. Il y a anguille sous roche… 

Peu après, et alors que le jeune Muller tourne en rond dans sa chambre en se demandant ce qui peut se produire par sa faute, priant que le plan initial ne dévie pas sur quelque chose de violent et non désiré, Joakim arrive tranquillement au fameux lieu de rendez-vous : où il n’y a évidemment personne.

C’est à ce moment-là que Zack craque et tente de le rappeler pour lui ordonner de faire demi-tour. Il tombe malheureusement sur sa messagerie, tandis que le concerné aperçoit soudain quelques silhouettes se rapprocher de lui, dans la pénombre de la nuit… Sans attendre, il les interpelle aussitôt et froidement :

— Magnez-vous, j’ai pas ma soirée.

Avant de reprendre, avec un mépris palpable :

— Et la prochaine fois, évitez de passer par ce bon à rien de Zack.

~ 073 ~

Temps de lecture : 8 minutes

Joakim reconnaitrait ces crétins qui s’avancent vers lui entre mille. Il les attend, un sourire ironique peint sur les lèvres. Il souhaite leur exprimer ainsi son infini mépris.

Quatre membres de l’équipe de football de son lycée. Le jeune Bauer s’ennuie de constater, chaque jour davantage, l’étendue de la bêtise humaine. Ces dégénérés semblaient fiers de leur stratégie de bas étage, qui avait surement pour unique but de le passer à tabac, comme de simples brutes faibles d’esprit.

— Mickaël vous envoie ? soupire-t-il avec désintérêt.

— Tu vas te dénoncer à la place de Joey Sanders ! crache l’un d’eux, celui qui porte toujours son uniforme sportif. 

Joakim pouffe. La scène s’avère encore plus cocasse qu’il ne pouvait l’imaginer, même dans ses rêves les plus dingues.

— Sinon quoi ? ne peut-il s’empêcher d’ajouter, l’air moqueur. Vous me cassez la gueule, vous ?

Un nouvel éclat de rire. Il n’en peut plus. Il va rater l’ouverture de Starquest, mais ce cinéma en vaut la peine !

Deux hommes arrivent lentement derrière lui. Pile à l’heure ! Joakim apprécie la fidélité de cet ami à qui il a donné rendez-vous. Il savait que celui-ci ramènerait sa brute de poche !

Kristofer Varels venait le retrouver avec son ex, Shane Helms.

Le blond foncé suivait ce soir, sollicité par son millionnaire préféré. Les mauvaises langues jaseraient qu’il ne s’agit là que de manipulation pour rester dans ses grâces, tandis que des romantiques confieraient qu’entre ces deux-là, un lien perdure encore. 

Shane lève les yeux au ciel devant la bande de lycéens qu’il a hâte de démonter. La bagarre, il aime ça et ses poings le démangent déjà.

— Vous avez cinq minutes pour détaler, ordonne froidement Kristofer en dévisageant les footballeurs un par un et avec un évident mépris.

— Sanders peut prouver son innocence, clame l’ami de Joey qui n’a pas quitté sa veste de l’équipe. Du coup, ne fais pas le malin, Bauer, parce que tu peux tomber net net, et vite, en plus !

La supériorité numérique qu’ils possèdent lui donne des ailes, car il sait que, si un affrontement débute, lui et ses comparses ne peuvent le perdre.

Shane sent la situation déraper et se met devant son ex. Non pas parce qu’il s’inquiète pour lui, il préférerait mourir que d’admettre une chose aussi mièvre, mais son délicat minois ne devrait pas subir la moindre éraflure ! Surtout que ce grand naïf n’a jamais su se battre. Lorsque la bagarre commencera, il faudra qu’il se place sur le côté et le laisse s’amuser avec Joakim. Il le lui souffle discrètement pour qu’il lui râle « qu’il n’est pas en mousse, hein ! »

— Je te rappelle que tu fermes les yeux devant Rocky parce que ça te fait trop peur ! chuchote Shane en retour et avec un petit rire taquin.

— C’est triste de ne pas assumer les erreurs de votre ami, soupire Joakim en haussant les épaules.

Il lève les poings devant lui pour se mettre en position, déjà prêt à offrir à ses interlocuteurs la rixte recherchée.

L’affrontement débute à ce moment-là, les deux camps se foncent rapidement dessus pour en découdre, tandis qu’à New York et sur des milliers de téléviseurs, on acclame l’ouverture de Starquest.

L’adrénaline qui monte en Shane explose, il envoie un violent coup dans l’abdomen d’un assaillant. Le sourire aux lèvres, il apprécie sa soirée et a hâte de tous les voir au sol, pour l’implorer d’arrêter avant qu’ils ne finissent tous aux urgences ! Il jette parfois des regards vers son ex qui tient à se battre près de lui. Cet idiot l’énerve, décidément. Son côté têtu et prétentieux le rendait déjà fou à l’époque de leur couple, mais, ce soir, ce défaut l’ulcère plus que tout.

Joakim évite une attaque frontale pour se prendre un coup de pied dans le dos. Il se relève aussitôt d’un bond et cogne le coupable. Il grimace de douleur, frustré. Deux contre un. Il reconnait bien là le courage des lâches !

Près de lui, Kristofer esquive avec effroi. Il se sent rassuré par la présence de son ex qui dégage soudain son agresseur. « Quel homme ! Comment arrêter de l’aimer ? » 

Au sol, le jeune Bauer se redresse de nouveau pour se défendre de ses deux assaillants. Il en frappe un au genou en se relevant, tandis que l’autre lui assène une nouvelle attaque en pleine tête. Il rechute.

Le millionnaire se prend un coup dans l’abdomen. Shane a dû se tourner un instant et il en paie le prix. Il s’écroule, surpris par l’impact et la douleur qui s’ensuit. Zut. Il aurait vraiment dû écouter son ex et ne pas participer à cet affrontement. Ce regret le terrifie. « Survivra-t-il à cette nuit ? » Il blêmit en se relevant, les poings levés devant son visage pour se protéger d’un éventuel nouveau coup. 

Dans un mouvement de karaté appris lors de cours durant son adolescence, Shane envoie au sol l’armoire à glace des footballeurs par un coup de pied en pleine nuque. « Si son ancien professeur pouvait le voir, il l’applaudirait ! », songe-t-il, repensant à la dextérité avec laquelle il a lancé sa jambe en l’air, se penchant en même temps de l’autre côté, pour atteindre le haut de son ennemi. « Incroyable ! »

Joakim se défend toujours contre ses deux agresseurs, tout en les frappant à tour de rôle, mais sa situation l’épuise, en parallèle de la douleur qu’il commence à ressentir sur tout le corps.

Kristofer s’effondre encore une fois, à genoux, les mains par terre. Sa mâchoire le fait terriblement souffrir et l’assaillant en chemise de cuir s’apprête à lui asséner un coup de pied dans la tête. Il veut abuser de sa position désavantageuse.

Shane l’en empêche en se jetant sur lui pour qu’il titube en arrière sous la surprise. 

L’armoire à glace profite du dos tourné de son opposant pour arriver par-derrière et lui envoyer un coup de poing sur le côté, en pleine tempe. 

De son côté, Erika jubile, persuadée que toute sa famille la regarde participer à l’ouverture de Starquest, tous assis sur le canapé du salon. Elle espère qu’ils apprécient ce spectacle qu’ils préparent depuis trois semaines !

Mais son frère aîné ne l’imagine actuellement pas danser sur une estrade et sous diverses chansons entrainantes, sur des chorégraphies travaillées et exécutées à la perfection. Il chute à nouveau et se relève aussitôt.

« Si cette bande de bras cassés s’imaginait le plier en deux, ils regretteraient ce soir cette erreur de jugement, parce qu’ils se rendront aux urgences avant lui ! »

Vingt minutes d’affrontement plus tard, les deux camps commencent par en souffrir sérieusement. Shane s’effondre, surpris par une attaque reçue pour une erreur d’inattention. Il s’essouffle.

Joakim se tord aussi de douleur en protégeant sa figure d’un nouveau coup de pied, tandis qu’il se relève péniblement. 

À des kilomètres de là, Erika danse avec grâce et élégance, tandis que son frère envoie un assaillant à terre, avant de l’y rejoindre en crachant du sang, frappé par un autre, peu après.

L’opposant de Kristofer se jette sur le millionnaire resté au sol, le visage caché entre ses mains. « Il n’a pas signé pour repartir chez lui amoché, ce soir ! À l’aide ! »

Pendant que l’ouverture de Starquest prend fin sous un tonnerre d’applaudissements…

~ 074 ~

Temps de lecture : 5 minutes

Dix minutes de lutte acharnée plus tard et alors que chaque individu tente encore de se relever pour revenir dans la bataille — sauf Kristofer — une sirène de police retentit.

Une peur panique s’empare immédiatement de chaque homme ici présent et les plus vaillants détalent aussi vite qu’ils le peuvent, sans demander leur reste, tandis que les plus affaiblis se contentent de continuer de se tordre de douleur sur le bitume. 

Joakim ne possède plus l’énergie requise pour courir, mais refuse de finir au poste. 

Péniblement et en titubant, il se traîne dans une ruelle sombre jusqu’à se terrer dans de crasseuses toilettes publiques. Cette pièce malodorante fera l’affaire pour s’y cacher silencieusement le temps que les flics repartent après avoir arrêté les deux lycéens stupides encore couchés au sol. Le jeune Bauer se sent rassuré que Shane ait détalé avec Kristofer inconscient sur le dos.

Il ressent actuellement une effroyable douleur qui lui déchire la poitrine et en déduit des côtes cassées.

À bout de force, il s’accroche pour ne pas perdre connaissance en priant pour que les policiers qui baragouinent au loin s’en aillent rapidement. Il n’en peut plus et un filet de sang s’échappe discrètement de sa bouche. « Bordel. » Il l’essuie sans attendre avec sa manche, tout en passant sa langue contre ses dents afin de s’assurer qu’aucune n’a disparu dans la bataille.

Les minutes défilent et, lorsqu’il n’entend plus le moindre bruit autour de lui, il décide de se relever du sol. Ses jambes refusent aussitôt l’exercice, elles hissent le drapeau blanc. « Bordel. Il est plus mal en point qu’il ne le pensait. »

Dans les vapes, il extrait son téléphone portable de sa poche pour scroller d’une main fébrile jusqu’au contact nommé « Call me !! ». 

— Tiens, coucou, lui répond sa rousse pénible.

La jeune fille s’intrigue qu’il daigne l’appeler en soirée et un timide sourire se dessine lentement sur son visage. 

— Trisha… Viens me chercher, s’il te plait. lui souffle-t-il sans attendre.

— Hein ? Pourquoi ? Tu as un problème ? s’inquiète-t-elle immédiatement devant sa voix à peine audible. Joakim, qu’est-ce qu’il se passe ? Ça ne va pas ?

— Tu prends la deuxième à droite après le Westin Hôtel, sur Pasadena avenue. Je suis dans les toilettes… débite le blessé grâce à ses dernières forces.

Mission accomplie, il s’autorise enfin à perdre connaissance.

— Joakim ?! Joakim ?! T’es là ?! Répète plusieurs fois la rouquine avant de foncer emprunter la voiture de sa mère pour se hâter à l’adresse indiquée grâce au GPS du véhicule.

Elle arrive sur les lieux moins de quinze minutes plus tard, l’air paniqué. Sur place, elle remarque très vite les taches de sang sur le sol et cela la terrifie. Le cœur battant et avec angoisse, elle se précipite vers les toilettes publiques.

— Joakim ! s’exclame-t-elle avec horreur en le constatant assis par terre, contre un mur et près des éviers.

Il semble évanoui. Elle se dépêche alors de se mettre à son niveau pour l’entourer de ses bras et le secouer légèrement.

— Joakim ? Dis-moi quelque chose, s’il te plait ! Je suis là !

Sans attendre de réponse de sa part, elle attrape en vitesse son téléphone portable pour appeler une ambulance. Le blessé ouvre aussitôt un œil pour l’en empêcher :

— Pas les urgences ! 

— Mais pourquoi ? Tu as vu ton état ! sermonne-t-elle, affolée par sa chemise ensanglantée.

« Que s’est-il donc passé ici ? »

— Pas les urgences, j’ai dit ! grogne-t-il. J’ai juste besoin d’aide pour ce soir, si je peux venir chez toi… 

— Oui, mais… soupire la rouquine, l’air inquiet.

— Allons-y alors…

— Pfft, t’es chiant ! Bref, accroche-toi à moi et essaie de te relever…

Elle le secoue énergiquement pour l’empêcher de perdre connaissance :

— Tiens bon, j’ai la voiture pas loin, mais il faut que tu m’aides, je ne peux pas te porter seule…

— Oui, go… gémi le jeune homme en se redressant péniblement.

Il lui passe le bras gauche autour des épaules et titube à chaque nouveau pas, tout en tentant de ne pas s’appuyer de tout son poids sur celle qui l’aide à mettre un pied devant l’autre.

— Qu’est-ce qu’il s’est passé ? questionne Trisha avec anxiété alors qu’ils approchent de la voiture.

— Juste une petite mésentente entre bonhommes, toi pas beau, moi taper.

— J’y crois pas, même à demi conscient, tu trouves encore le moyen de faire du sarcasme, soupire sa rousse en lui souriant d’un air ému et alors qu’elle ouvre la portière de l’Opel de sa mère pour qu’il s’allonge à l’arrière.

Elle se sent heureuse qu’il ait pensé à elle, avant un éventuel ami, puis lui demande, tout en démarrant le véhicule :

— Pourquoi ne voulais-tu pas que j’appelle une ambulance et comment est-ce que cela se fait que ce soit à moi que tu téléphones ? 

— Ma famille ne peut pas avoir cette image-là de moi, lui renvoie-t-il d’une traite en se figeant ensuite honteusement lorsqu’il réalise qu’il aurait pu contacter Miguel Sanchez. Son choix le gêne soudain, ainsi que le visage désormais souriant de l’emmerdeuse qui l’observe dans le rétroviseur. « Elle va encore se faire des films romantiques dans son esprit dégénéré d’adolescente mielleuse, au secours ! », se terrifie-t-il.

Les sourcils de la rouquine montent et descendent pour exprimer une moue malicieuse, tandis qu’elle plaisante sur son importance à ses yeux.  Peu après et une fois la voiture garée devant son immeuble, elle l’aide à s’en extraire. Ils vont rejoindre l’ascenseur aussi vite qu’ils le peuvent, tandis qu’un sourire radieux ne la quitte plus. « Ce petit con a beau faire l’indifférent insensible au quotidien, elle sait désormais qu’elle représente quelque chose dans sa vie ! » Elle jubile.

L'Améthyste

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